Si on vous donne des cheveux d'une personne ou des poils d'animaux comme témoins pour faire vos recherches, il y a lieu de contrôler d'abord au pendule si c'est bien le cas.
Trop de cas sont connus pour induire le radiesthésiste en erreur ou pour le 'tester' en donnant de fausses informations sur les témoins cheveux/poils.
Dans le premier cas vous avez affaire à un sceptique qui ne changera jamais d'avis, abandonnez tout travail, vous perdez votre temps.
Dans le cas de vouloir 'tester' le radiesthésiste, il y a déjà méfiance du début. Tenez compte de l'influence mentale négative de cette personne présente lors de votre travail. Renvoyez la personne et expliquez que dans un climat pareil vous ne travaillez pas.
Après la mort d'une personne ou d'un animal, tout témoin ne sera plus utilisable, ne se connectant plus sur un corps physique.
Cette particularité vous permet, lors de la recherche d'une personne ou d'un animal perdu, de déterminer si une recherche est possible ou pas — si vous n'avez aucune réaction sur le témoin, posez la question si la personne ou l'animal sont encore en vie ou pas.
Dans de rares cas vous n'aurez pas de réponse à cette question — indication que vous n'avez pas accès à l'information — abandonnez le travail.
Le témoin goutte de sang est le meilleur moyen de déterminer l'état physique de son hôte et éventuellement sa mort. Lors d'une de mes visites aux laboratoires De La Warr radionics à Oxford — Grande Bretagne, j'ai assisté à un contrôle de fichiers de témoins-sangs de chevaux de courses. Souvent les propriétaires qui avaient donné des témoins-sangs de leurs chevaux de courses pour des traitements radioniques oubliaient d'avertir les laboratoires lorsque le cheval n'était plus en vie. Comme il est inutile de garder un témoin qui n'est plus utilisable, chaque année on retirait ceux qui ne répondaient plus aux tests pendulaires — dans chaque cas, le cheval était mort, souvent signalé plus tard par son propriétaire.
Bon travail !
Ronald Maes